1 de 4. Des militants écologistes démontrent, à l'extérieur de la Conférence des Nations Unies pour le changement climatique (COP17) à Durban, 3 décembre 2011. La marche de protestation faisait partie d'une journée d'Action mondiale à un climat juste changer beaucoup de la demande.
Crédit : Reuters/Rogan Ward (Afrique du Sud - Tags : environnement)Par Nina Chestney et Barbara Lewis
DURBAN, en Afrique du Sud | Mardi 6 décembre 2011 2:22 pm EST
DURBAN, Afrique du Sud (AFP) - trois pollueurs plus grands du monde, la Chine, les états-Unis et l'Inde refuse de déplacer vers un nouvel engagement juridique pour réduire leurs émissions de carbone mardi, augmentant le risque que les discussions sur le climat vont échouer pour sceller un accord utile cette semaine.
L'Union européenne dirige les efforts visant à maintenir en vie le protocole de Kyoto, Pacte seulement juridique du monde pour s'attaquer aux changements climatiques, avec une promesse conditionnelle de signer un accord mondial qui forcerait les grands émetteurs à modifier leurs habitudes.
Mais avec la planète plus grands que pollueurs rebellent, Secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon, a reconnu les nations presque 200 rencontre dans la ville c?tière sud-africaine de Durban pourraient s'efforcent de grève un accord soutenue par force juridique.
? Un accord global juridiquement contraignants ne soit pas possible à Durban, ? U.N. Secrétaire général Ban Ki-moon a dit les pourparlers. ? Mais cela devra être notre priorité. ?
L'Union européenne est urgent pour un pacte d'ici 2015, qui serait mise à jour de Kyoto reflètent l'émergence des pays en développement comme la Chine comme émetteurs de carbone big et imposer des réductions sur eux.
Une clause vitale dans le Pacte qui applique les coupures de liaison sur les nations riches expire à la fin de 2012, mais toutes les parties ont convenu, il n'y a pas le temps de négocier un accord mondial complexe à ce moment-là.
? L'Union européenne tiens à voir les choses a conclu dès que possible ?, le commissaire européen en charge du climat Connie Hedegaard a déclaré aux journalistes lorsque demandé si elle accepterait une date de fin 2015 au plus.
? Nous voulons légalement obligatoire deal. Nous avons vraiment de bonnes raisons de vouloir que,"dit-elle.
Bien que la première phase du protocole de Kyoto expire à la fin de l'année prochaine, l'Union européenne veut un accord convenue d'ici à 2015 qui entrerait en vigueur plus tard à 2020.
Les scientifiques disent que les émissions de gaz à effet de serre doivent leur maximum et commencent à tomber en 2020 pour éviter les effets dévastateurs, tels que les pays insulaires étant submergés et des cultures agricoles omettant.
CARTE ROUTIèRE
Condition de l'Union européenne pour signer un accord est que les autres pollueurs lourds conviennent d'une feuille de route en vertu duquel ils seraient commettre, à un certain stade, à la liaison de réductions.
Sans que le bloc ne dit, il y aurait aucun progrès significatif pour la planète que les comptes de l'Union européenne pour seulement 11 p. 100 de toutes les émissions.
Chine, les états-Unis et l'Inde ensemble forment près de la moitié des émissions de CO2 du monde et ils ont tous des raisons pour ne pas vouloir faire partie d'un nouvel accord global.
Le trio voulons mettre hors tout engagement sur lie les réductions jusqu'en 2015. Ce serait après la publication de la revue scientifique des effets du changement climatique et de travaux pour mesurer l'efficacité des promesses d'émissions par chaque pays.
Bien que la Chine a déménagé vers des objectifs nationaux pour le carbone de découpage, Kin, dit il n'est pas responsable pour les générations précédentes de la pollution industrielle et ne doivent pas laisser son économie en développement rapide pour être entravée par le lecteur à réduire les émissions de carbone.
Beijing a donné des signaux positifs la semaine dernière qu'il était prêt à envisager certaines formes d'objectifs contraignants, mais a depuis toujours refusé à être coincée sur ce que la Chine est disposée à accepter et à quelle date.
Négociateur de plomb du pays Xie Zhenhua a déclaré aux journalistes que chinois pourrait être partie d'un accord si, après 2020, les efforts mondiaux étaient conformes aux ? responsabilités communes mais différenciées ?.
Ce libellé, levé au protocole de Kyoto, impose un fardeau plus lourd sur les nations riches pour réduire la pollution que les nations les plus pauvres, qui ont historiquement été moins responsable pour les émissions qui changent le climat de la planète.
Cependant, l'économie mondiale a évolué considérablement depuis l'adoption du protocole de Kyoto en 1997. Nations développées sont liées par ses modalités, mais des nations en développement ne sont pas--y compris la Chine, maintenant les pollueurs de carbone haut du monde.
Pour sa part, aux états-Unis est retenu par des politiques intérieures au moins jusqu'après une élection présidentielle l'an prochain comme républicains et démocrates du président Barack Obama se querellent sur chaque tentative de passer des lois de l'environnement.
Envoyé de climat U.S. ? nous serait très ouverts à une discussion sur un processus qui conduirait à une négociation pour la chose, quelle que soit il fait pour être, qui s'ensuit 2020, et nous sommes aussi pleinement disposés à reconna?tre que c'est peut-être un accord juridique, ? a déclaré Todd Stern.
Inde affirme que c'est une fin de comer au développement industriel et à son économie GALs Chine, rendant réticents à accepter des objectifs contraignants qui pourraient freiner sa croissance.
? Nous croyons fermement que nous devrions considérer la nécessité d'un accord juridique plu (...) Après avoir "évalué les actions de tous dans le cadre de l'examen 2015 et coup de ?il à la science, Jayanthi Natarajan, ministre de l'environnement l'Inde, dit.
Hedegaard de l'UE, a déclaré qu'elle tient des réunions bilatérales avec toutes les parties, non seulement les grands émetteurs, dans le but d'augmenter la pression d'une solution.
Même sans un accord à la fin de cette semaine, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et le protocole de Kyoto existeront toujours, mais n'appliquerait pas de réductions de carbone.
Des accords importants resteraient en place qui permettent la surveillance et la vérification des émissions de carbone, qui fournissent des données pratiques qui pourraient aider à former la base d'un accord futur.
(Notification additionnelle par Agnieszka Flak, Jon Herskovitz, Andrew Allan et Michael Szabo ; Montage par Jon Boyle)
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